La France est, avec les Etats-Unis et le Chili, l'un des trois pays qui contribuent de façon effective à la construction du LSST.
Entrée dans le consortium LSST en 2007, la France est engagée dans le projet au travers de neuf laboratoires et un centre du calcul de l’lnstitut national de physique nucléaire et de physique des particules (IN2P3) du CNRS participent au projet.
Outre une participation financière, la France participe au développement et à la construction de divers sous-systèmes de la caméra, et au système de traitement de données informatiques.
